Je vie ce matin un ostie de mottons à la gorge. Je suis dans une situation où je sais très bien que je ne suis pas parfait, j'accepte que les autres ne le soient pas non plus, mais les autres n'acceptent pas que je ne sois pas parfait au point où de virer le monde à l'envers. Je suis dans une position pour aider les gens à cause du temps que j'ai perdu à étudier des livres, lire du code et appris des trucs, et écris des trucs. Lorsque l'on me demande mon aide, je fais normalement plus que ce qu'on me demande, je soulève des problèmes, des questions, toujours avec l'intention d'être constructif. J'ai toujours derrière la tête le reproche d'être trop directe, de culpabiliser les autres, etc...
Donc chaque fois que j'écris un email j'essai de faire attention à ce que j'écris pour pas insulter personne, j'essai de rester polie, même lorsque je parle à ma blonde à la maison de ces situations que je vie, je nomme pas les noms des gens, je tente de cacher leur identité car pour moi c'est rendu pas bien de rapporter des choses sur quelqu'un. Je préfère plutôt rester constructif et parler d'un acte précis dans son contexte et de parler des faits, je sous-entends toujours que je n'aurais probablement pas fait mieux dans le même contexte. Je n'y arrive pas toujours à formuler les courriels comme il faut où prévoir ce qui va blessé ou pas, mais mon intention est toujours de faire avancer les choses malgré tout et non pas de basher sur la personne.
Mais lorsque j'apporte mon aide qui m'a été demandé, les gens par la suite la critique assez souvent. Je comprends ça, je ne suis pas parfait et souvent la façon que je m'exprime semble impliquer que quelqu'un a fait une erreur, mais moi je suis comme ça, je n'ai pas peur de me faire dire que j'ai fais une erreur, et j'apprends de mes erreurs. Mais lorsqu'il y a un problème, un manque, il faut bien que ce soit en raison de quelque chose, le code ça ne se crée pas tout seul encore. Faut bien que quelqu'un ait réfléchi, qu'il s'est dit "Comment je dois faire ça?" et qu'il en est arrivé à une conclusion. Et personnellement, s'il ne se trompait pas j'en aurais pas de problème, je n'aurais peut être plus de job non plus. Là où ça me fait mal c'est lorsque les gens qui me demande de l'aide par la suite sans preuve me dise que ma solution n'est pas acceptable, encore là, ça me blesse mais ce n'est pas si pire.
Genre si je demande de l'aide, et que je crois que l'aide apporter n'est pas bonne, on est en droit quand même de la critiquer, quoique ça devrait être fait en respect car on a quand même été voir cette personne en pensant qu'elle pourrait nous aider, mais lorsque par la suite j'apporte des preuves tangibles que ça fonctionne ce que je dis, ben là, s.v.p. accepter ma solution et cesser de me critiquer, où du moins, si vous le faites, faites-le en vous appuyant sur quelques chose du même niveau que j'apporte, c'est-à-dire des preuves tangibles. Je serai alors le premier à me fermer la gueule, à m'excuser de vous avoir mis dans le mauvais chemin et à vous rendre votre gloire.
Et encore, j'ai l'impression que je suis très charitable, car beaucoup que je connais aurais cesser après votre refus de l'aide apporter et demander en plus. Lorsqu'on me reproche quelque chose, j'ai toujours tendance à le refuser, mais je vérifie, même si je suis frustré, et si c'est vrai, je reviens et j'accepte mon erreur, et j'essai de figurer ce que j'ai mal fait, pourquoi, et comment à l'avenir je peux l'éviter, et souvent je refais les mêmes erreurs malgré moi.
Je fais tellement souvent d'erreurs que j'ai souvent l'impression que je suis un incompétent dans mon domaine. Lorsque je vois les autres faire des trucs dans les livres, sur le net, je capote tellement je ne connais rien. On me récompense par contre pour ce que je fais, assez souvent, alors du coup je me dit que je suis quand même pas pire. Et je suis fière aussi de ce que j'ai accompli comme code, celui-ci rapporte beaucoup, et il est utilisé un peu partout, je crois que j'ai le droit de croire que j'ai réussi quelque chose de bien, on l'a même acheté mon code, bien sûr avec tout le reste, mais il a été inspecté et il a fait parti d'un tout et aujourd'hui beaucoup de monde travail sur celui-ci.
Je suis arrogant, bien sûr, je suis toujours fière de mon code, et je crois que c'est le fruit de mes investissements, pas juste d'un talent quelconque que je pourrais peut être avoir. J'ai acquis mes connaissances, par moi-même, pas à l'école. Ne pas être bon à mon stade après 20 ans dans le domaine de la programmation (casiment à temps plein malgré l'école) serait une défaite totale. À n'importe quel temps on aurait pu me dire, ok toi, travaille sur autre chose car ça n'avance pas, ou tu n'y arrives pas, etc. Mais on m'a garder, on m'a appelé pour tout les problèmes, et rarement j'ai pris plus de 1 à 2 semaines pour résoudre des problèmes qu'ils soient mineures ou majeures.
Je crois que je suis en droit de dire que j'ai acquis des connaissances avancés dans mon domaine. Je crois que j'ai le droit de me montrer un peu arrogant lorsqu'on refuse mon aide sans preuve. Je crois que j'ai mérité le respect de mes pairs, car moi je les considère égale sinon supérieur à moi. Peut être pas dans toute les contextes mais en générale j'ai toujours l'impression d'être inférieur à eux, car ils savent des trucs que je ne sais pas encore, et ce même si l'inverse est vrai aussi. Et ce, même lorsque ceux-ci sont des stagiaires, ils me montre des trucs que je ne sais pas encore faire, genre du OpenGL et autres.
Je comprends aussi que d'être comme je suis ne m'attire pas de sympathie. Et personnellement je m'en calisse d'en recevoir, je ne suis pas dans ce domaine pour recevoir des fleurs, me faire des amis ou autres, non plus. Je suis là simplement pour faire ce que j'aime, pour apprendre et faire des trucs plus poussé, que je n'aurais pas cru être capable de faire, pour obtenir un salaire qui me permet de vivre à mon aise. J'ai accepté le fait que je suis loin d'être parfait, et j'accepte aussi que d'autre soit arrogant envers moi, et c'est la game. Le hic, c'est que lorsque moi j'ai besoin d'aide, j'ai souvent personne vers qui me tourner, pas qu'il n'y a pas mieux que moi, souvent les gens qui pourraient m'aider ne sont pas disponible.
Alors là, je dois me débrouiller, car contrairement à d'autres, on s'attends que je trouve les solutions avec ou sans aide. Lorsque moi par contre je m'attends à la même chose d'un autre personne, là, c'est une toute autre histoire, ça me retombe toujours sur la tête. Si je suis occupé, on interrompt ce que je fais et on me dit d'aider l'autre, ce que je fais, et si l'autre ne réussi pas à résoudre le problème avec mon aide, les gens pointent sur moi et c'est OK ça. Si je ne l'aide pas parce que je suis assigné à d'autres tâches plus importantes, alors là par contre, ça me revient quand même dessus, parce que, tsé, dans le fond, on est tous une grosse équipe et il faut qu'on s'entraide, etc. On ne peut pas laisser les gens sans aide comme ça, même si on a d'autre priorité, on doit trouver un trou, etc. Genre faut bien respirer aussi des fois non? Alors si t'as le temps de respirer, t'as toujours le temps alors d'aider les autres.
Et normalement tout ça, je l'avale, je l'accepte et je continue, je me dis que ça fonctionne ainsi, etc. Aujourd'hui par contre, j'ai beaucoup de misère à le prendre. Je ne sais même pas trop pourquoi, je vis ça très souvent, je me fais chier dessus parce que mes interactions sociales ne sont pas parfaite et que je dis ce qu'il ne faut pas dire car ça peut blessé les autres. Et j'essai de m'améliorer, mais lorsque moi on m'insulte, personne ne me défends, je fais probablement l'erreur à ce moment-là de vouloir me défendre moi-même, au lieu d'aller courir sous les jupettes de quelqu'un d'autre. Et là, mon verre est plein j'imagine, trop en peu de temps.
Et peut être que je m'imagine tout ça, je me crois peut être différent des autres sans raison. Je ne sais pas, ce n'est pas l'impression que j'ai, par contre. Lorsque les gens sont dans le merde, mon nom arrive souvent, "Yannick, peux-tu nous aider", et là, 1-2 semaines après, le problèmes est réglé, d'autres surgissent par contre qui n'ont pas rapport avec le premier, les gens sont pas content de la façon que j'ai dis des trucs etc, faut quand même expliquer les faits tel qu'ils sont, on va pas ré-inventer ce qui est arriver ou faire croire que ces problèmes là sont venus de la planète Mars, d'ailleurs il n'y a pas de carbone sur celle-ci.
Et souvent, ce qui est drôle, c'est que lorsque je propose mon aide avant le temps, je me fait souvent remettre à ma place. "Yannick, est-ce qu'on peut savoir pourquoi t'a commenter ceci? C'est pas que ce que tu as dis n'est pas techniquement vrai, c'est plus que c'est pas ton rôle de faire ça." ??? Donc en gros, si tu trouves des problèmes alors qu'on t'a rien demandé, pourquoi tu nous laisserais pas les découvrir nous même afin qu'après lorsqu'on sera dans la marde on viendra si nécessaire te demander de l'aide car en fait t'était pas mal le seul qui a vu un problème dans ce qu'on faisait alors qu'on croyais qu'on était correcte nous, et dans notre monde les choses allaient comme on le souhaitait.
Ostie que ça me fait chier tout ça. Quand quelqu'un soulève un problème et que vous n'êtes pas capable de répondre comment vous aviez penser le résoudre, faite juste dire "Merci, on va regarder ça". Au lieu de dire d'autres niaiseries, on est juste une grosse équipe, je fais ça pour tenter de vous sauver du temps plus tard, je comprends que ça peut gâcher vos plans dans vos têtes actuellement mais ça va arriver que je soulève le problème ou pas, ça ne veux pas dire que c'est moi qui a créer le problème, si je ne l'avais pas fait, le problème serait apparu de par lui-même, c'est quand même pas de ma faute si moi je porte attention à ce que le monde écrive et dit et que j'essai de comprendre comment les trucs fonctionnent et que je pose plus de questions qui révèlent des trucs.
En gros, je n'ai pas le sentiment d'être apprécier en dehors de ceux qui me connaissent déjà et qui savent passer par-dessus mes faiblesses afin d'extraire mes forces et de les utilisés. Et le plus triste c'est que dans ma tête, je me dis que c'est de ma faute, je peut certainement faire mieux...
Crisse, la perfection ça n'existe pas !
mardi 4 décembre 2012
mardi 3 avril 2012
Les vacances 2012 - on s'envoit en l'air
BEEP BEEP BEEP, on se réveille, on s'arrange tous, on nettoie la chambre et on est au checkout. On prends le transport de l'hôtel offert gratuitement qui nous amène à l'aéroport JFK. Que j'apprécie quand s'est offert ainsi gratuitement et que tout va bien, merci aux hôtels d'offrir ce service. Arrivez à l'aéroport on chercher le guichet pour pouvoir enregistrer nos deux gros bagages. Ici, ça se fait au milieu de la place avec un petit guichet.
Le monsieur a l'air vraiment bête, ha non, il l'est aussi, ce n'est pas juste un air. On doit par la suite mettre nos deux bagages enregistrées sur un tapis roulant nous même. Deux employés discutent et Marjo leur demande si on peut aussi y mettre Émilie, un des gars lui réponds du plus sérieusement du monde que non, seulement les bagages. Marjo est un peu insulté que le gars ait pu croire que ce n'était pas une farce. À croire que d'autres aurait fait ça avec leur enfant, ha, il faut de tout pour faire un monde.
On va à notre ligne d'attente pour entrer dans la zone sécurisée. Encore là, super, il y a une ligne spéciale pour les familles. On passe et les enfants apprennent qu'ils devront retirer leur soulier, ils trouvent ça bien étrange, nous aussi. On passe l'inspection, tout est beau, personne n'avait rien cacher dans leur soulier. On se dirige vers notre gate et on fait un arrêt déjeuner dans le premier resto qu'on voit.
On fait une pause photo juste avant d'entrée dans le resto, en demandant à un pilote qui passe de nous prendre en photo. Le resto est très bon, surprenant même, ça avait plus l'air d'un bar. J'ai mangé une genre de sandwidch club déjeuner, pain, omelette, jambon, fromage, délicieux. Jérémie et Marjo ont prit des oeufs bénédictine, encore là, un succès. Quand à la petite elle a prise un déjeuner un peu plus standard.
Après une pause toilette, on arrive à notre gate, les enfants regardent les avions sur le côté, la passerelle qui va nous amener à la nôtre. Notre avion n'est pas encore arrivé, Marjo part explorer les boutiques. Lorsque l'avion arrive on est tous rivé à regarder le pilote faire son stationnement en parallèle avec ce gros engin. Le tout est fait et les gens sortent, ce sera notre tour après. On arrive dans l'avion et les enfants commence à stressé un tout petit peu.
On s’assoit à nos places qui ne sont pas tout à fait une à côté de l'autre, bizarre. Les rangées sur le côtés sont décalés un peu ce qui fait que les enfants sont en diagonales avec nous. Jérémie ne veut pas ouvrir l'hublot car il ne veut pas voir ce qui se passe. Émilie elle cherche à voir, la chicane pogne. Marjo force Jérémie à ouvrir le hublot ou de changer de place et de simplement pas regarder s'il ne veut pas.
L'avion se déplace, on s'en va vers la piste de décollage, on peut clairement voir un doute dans la face de Jérémie, pour Émilie c'est l'excitation. BRRROOOOOOOMM, les moteurs à pleine puissance, l'avion avance, ça brasse un peu, on est poussé dans nos sièges, ça y est, on décolle, l'avion monte s'incline vers le ciel, détache de la piste et semble manqué sa shot et redescendre vers la piste, moi je perçois toujours ça comme ça le moment ou l'avion commence à monté, et par la suite ça y est on est dans les airs.
Lorsque l'avion est en monté le pilote pour faire stressé tout ceux qui ont peur en avion fait un virage prononcé. Si quelqu'un avait le goût de vomir c'est le temps. Jérémie regarde lui dans le sens opposé de tous alors qu'on regarde comment les bâtiments sont petits. Sur les écran on nous affiche notre trajet, la distance, notre vitesse et notre altitude actuel, je confirme on est dans les airs et l'altitude continue à augmenter, c'est un bon signe.
Une fois les 10000 pieds atteints notre pilote nous informe que d'autres pilotes l'ont informé qu'il y a de bonne probabilité de turbulence dans les 25 prochaines minutes et décide donc de retarder le service dans les allés. Merde, moi qui aime prendre un Pepsi/Coke en plein air question de déboucher mes oreilles et de sucer les glaces qu'ils mettent dans nos verres de plastique. Il nous font jouer un film aussi pour nous faire patienter, mais j'ai pas mes écouteurs et le services qui en vends ne va pas passer avant 30 minutes, oh joie.
Après 10-15 minutes je détecte que Jérémie n'écoute plus sa musique et décide de lui voler ses écouteurs. Le reste du voyage s'est agréablement bien passé. Les enfants ont su se faire invisible avec leur PSP/DS et à l’atterrissage se fut un autre moment stressant pour Jérémie. Une fois sortie de l'avion, la température nous pogne, la chaleur, oh oui!
On débarque et on se dirige vers les carrousels à bagages. Là, encore une fois Marjo et les kids stress, nos bagages, sont où? tout le monde ont les leurs mais on ne voit pas les nôtres. Je te les envoi aux toilettes tous afin d'avoir la paix. Ils reviennent, toujours pas de bagages, mais on est pas les seuls, donc arrêter de paniquer. Enfin, voilà notre première valise, et la deuxième quelques minutes après. Tout est beau là?
On sort à l'extérieur, et les taxis sont là pour nous accueillir à porte arrière de camion ouvertes. On y place nos bagages et on annonce fièrement au chauffeur le nom de notre navire, Carnival Victory s.v.p.. Les enfants regarde leur premier palmiers à l'extérieur. On se promène dans San Juan afin de se rendre au port. Lorsqu'on arrive tout près je montre aux enfants les bateaux de croisières, mais ils ne les voient pas, effectivement, ils regardent trop bas, je leur dit de lever la tête vers le ciel.
Trois immenses navires se trouvent dans le port aujourd'hui. C'est gros, des bâtiments de 14-16 étages sur l'eau. On débarque du taxi et on se dirige vers les portes pour embarqués sur le bateau. On laisse nos deux gros bagages à un monsieur à l'air louche, auxquels je donne 5$ US, et Émilie me demande pourquoi j'ai donné nos bagages aux monsieur d'un air très inquiète. La vie est ainsi faite que veux-tu, est ma réponse.
On monte un premier escalier pour se rendre à l'acceuil, on présente nos billets, on reçoit des cartes de chambre, des plans du navire. On fait une pause toilette, et ensuite on se dirige aux passerelles qui nous amène au bateau. On pose le pier sur le bateau et on se fait prendre en photo. Tout mon stress du voyage débarque de mes épaules, on est arrivé au bateau sans problème et tout à bien été, je viens de perdre 20 livres.
On se dirige vers nos chambres, wow, très belles et grandes, les enfants explorent. On regarde au hublot on y voit les employées qui manipulent nos bagages. Nos chambres sont les premières à l'avant du bateau au 2è étage donc très basses. Après quelques minutes de relaxation on décide d'aller manger quelque chose au buffet et du coup de regarder un peu le pont supérieur du bateau. Deux piscines sont visibles et surtout on voit la glissade d'eau et l'écran gigantesque de cinéma.
Le buffet est décevant, très peu de choix, rien qui a l'air très appétissant. Moi qui a été l'an d'avant sur le Celebrity Summit, où sushi, indien, et toute sorte de style de bouffe de très bonne qualité se retrouvait dans le buffet, je suis vraiment déçu. Bon, je décide de me tourner vers un comptoir fast-food, prendre un bon hamburger. Les enfants eux optent pour des hot-dogs, heureusement leur grand-père leur a dit qu'il devait bien mangé et minimiser le fast-food, ce sera nos derniers hamburgers/hot-dogs de notre périple.
On retourne aux chambres, la valise de Marjo est arrivé, Émilie et elle enfilent leur maillot et on va se baigner, moi et Jérémie on attends toujours notre valise, donc on est limité à regarder les autres se baigner, nos costumes de bain étant dans notre grosse valise. Une heure passe et voilà on est nous aussi dans la piscine. Au souper on se dirige vers le restaurant du soir, au menu du saumon crue, un peu style tar-tar. C'était super bon, sauf que c'est un entrée. J'en ai donc repris, les enfants aussi d'ailleurs on commander l'assiette. Je ne me souviens pas ce que j'ai pris en plat principale par contre.
Après le souper on s'est diriger à nos chambres et on est par la suite sortie pour la fête sur le pont du départ de San Juan. Les gens dansaient et s'amusaient et donc du coup j'ai tout gâché. À un moment donné moi et Marjo ont s'est pogné, j'ai dit la mauvaise chose au mauvais moment, tout à fait moi ça. On s'est retrouvé tous dans la chambre et on a terminé notre journée après une petite réconciliation. Je crois que la fatigue était aux rendez-vous.
Le monsieur a l'air vraiment bête, ha non, il l'est aussi, ce n'est pas juste un air. On doit par la suite mettre nos deux bagages enregistrées sur un tapis roulant nous même. Deux employés discutent et Marjo leur demande si on peut aussi y mettre Émilie, un des gars lui réponds du plus sérieusement du monde que non, seulement les bagages. Marjo est un peu insulté que le gars ait pu croire que ce n'était pas une farce. À croire que d'autres aurait fait ça avec leur enfant, ha, il faut de tout pour faire un monde.
On va à notre ligne d'attente pour entrer dans la zone sécurisée. Encore là, super, il y a une ligne spéciale pour les familles. On passe et les enfants apprennent qu'ils devront retirer leur soulier, ils trouvent ça bien étrange, nous aussi. On passe l'inspection, tout est beau, personne n'avait rien cacher dans leur soulier. On se dirige vers notre gate et on fait un arrêt déjeuner dans le premier resto qu'on voit.
On fait une pause photo juste avant d'entrée dans le resto, en demandant à un pilote qui passe de nous prendre en photo. Le resto est très bon, surprenant même, ça avait plus l'air d'un bar. J'ai mangé une genre de sandwidch club déjeuner, pain, omelette, jambon, fromage, délicieux. Jérémie et Marjo ont prit des oeufs bénédictine, encore là, un succès. Quand à la petite elle a prise un déjeuner un peu plus standard.
Après une pause toilette, on arrive à notre gate, les enfants regardent les avions sur le côté, la passerelle qui va nous amener à la nôtre. Notre avion n'est pas encore arrivé, Marjo part explorer les boutiques. Lorsque l'avion arrive on est tous rivé à regarder le pilote faire son stationnement en parallèle avec ce gros engin. Le tout est fait et les gens sortent, ce sera notre tour après. On arrive dans l'avion et les enfants commence à stressé un tout petit peu.
On s’assoit à nos places qui ne sont pas tout à fait une à côté de l'autre, bizarre. Les rangées sur le côtés sont décalés un peu ce qui fait que les enfants sont en diagonales avec nous. Jérémie ne veut pas ouvrir l'hublot car il ne veut pas voir ce qui se passe. Émilie elle cherche à voir, la chicane pogne. Marjo force Jérémie à ouvrir le hublot ou de changer de place et de simplement pas regarder s'il ne veut pas.
L'avion se déplace, on s'en va vers la piste de décollage, on peut clairement voir un doute dans la face de Jérémie, pour Émilie c'est l'excitation. BRRROOOOOOOMM, les moteurs à pleine puissance, l'avion avance, ça brasse un peu, on est poussé dans nos sièges, ça y est, on décolle, l'avion monte s'incline vers le ciel, détache de la piste et semble manqué sa shot et redescendre vers la piste, moi je perçois toujours ça comme ça le moment ou l'avion commence à monté, et par la suite ça y est on est dans les airs.
Lorsque l'avion est en monté le pilote pour faire stressé tout ceux qui ont peur en avion fait un virage prononcé. Si quelqu'un avait le goût de vomir c'est le temps. Jérémie regarde lui dans le sens opposé de tous alors qu'on regarde comment les bâtiments sont petits. Sur les écran on nous affiche notre trajet, la distance, notre vitesse et notre altitude actuel, je confirme on est dans les airs et l'altitude continue à augmenter, c'est un bon signe.
Une fois les 10000 pieds atteints notre pilote nous informe que d'autres pilotes l'ont informé qu'il y a de bonne probabilité de turbulence dans les 25 prochaines minutes et décide donc de retarder le service dans les allés. Merde, moi qui aime prendre un Pepsi/Coke en plein air question de déboucher mes oreilles et de sucer les glaces qu'ils mettent dans nos verres de plastique. Il nous font jouer un film aussi pour nous faire patienter, mais j'ai pas mes écouteurs et le services qui en vends ne va pas passer avant 30 minutes, oh joie.
Après 10-15 minutes je détecte que Jérémie n'écoute plus sa musique et décide de lui voler ses écouteurs. Le reste du voyage s'est agréablement bien passé. Les enfants ont su se faire invisible avec leur PSP/DS et à l’atterrissage se fut un autre moment stressant pour Jérémie. Une fois sortie de l'avion, la température nous pogne, la chaleur, oh oui!
On débarque et on se dirige vers les carrousels à bagages. Là, encore une fois Marjo et les kids stress, nos bagages, sont où? tout le monde ont les leurs mais on ne voit pas les nôtres. Je te les envoi aux toilettes tous afin d'avoir la paix. Ils reviennent, toujours pas de bagages, mais on est pas les seuls, donc arrêter de paniquer. Enfin, voilà notre première valise, et la deuxième quelques minutes après. Tout est beau là?
On sort à l'extérieur, et les taxis sont là pour nous accueillir à porte arrière de camion ouvertes. On y place nos bagages et on annonce fièrement au chauffeur le nom de notre navire, Carnival Victory s.v.p.. Les enfants regarde leur premier palmiers à l'extérieur. On se promène dans San Juan afin de se rendre au port. Lorsqu'on arrive tout près je montre aux enfants les bateaux de croisières, mais ils ne les voient pas, effectivement, ils regardent trop bas, je leur dit de lever la tête vers le ciel.
Trois immenses navires se trouvent dans le port aujourd'hui. C'est gros, des bâtiments de 14-16 étages sur l'eau. On débarque du taxi et on se dirige vers les portes pour embarqués sur le bateau. On laisse nos deux gros bagages à un monsieur à l'air louche, auxquels je donne 5$ US, et Émilie me demande pourquoi j'ai donné nos bagages aux monsieur d'un air très inquiète. La vie est ainsi faite que veux-tu, est ma réponse.
On monte un premier escalier pour se rendre à l'acceuil, on présente nos billets, on reçoit des cartes de chambre, des plans du navire. On fait une pause toilette, et ensuite on se dirige aux passerelles qui nous amène au bateau. On pose le pier sur le bateau et on se fait prendre en photo. Tout mon stress du voyage débarque de mes épaules, on est arrivé au bateau sans problème et tout à bien été, je viens de perdre 20 livres.
On se dirige vers nos chambres, wow, très belles et grandes, les enfants explorent. On regarde au hublot on y voit les employées qui manipulent nos bagages. Nos chambres sont les premières à l'avant du bateau au 2è étage donc très basses. Après quelques minutes de relaxation on décide d'aller manger quelque chose au buffet et du coup de regarder un peu le pont supérieur du bateau. Deux piscines sont visibles et surtout on voit la glissade d'eau et l'écran gigantesque de cinéma.
Le buffet est décevant, très peu de choix, rien qui a l'air très appétissant. Moi qui a été l'an d'avant sur le Celebrity Summit, où sushi, indien, et toute sorte de style de bouffe de très bonne qualité se retrouvait dans le buffet, je suis vraiment déçu. Bon, je décide de me tourner vers un comptoir fast-food, prendre un bon hamburger. Les enfants eux optent pour des hot-dogs, heureusement leur grand-père leur a dit qu'il devait bien mangé et minimiser le fast-food, ce sera nos derniers hamburgers/hot-dogs de notre périple.
On retourne aux chambres, la valise de Marjo est arrivé, Émilie et elle enfilent leur maillot et on va se baigner, moi et Jérémie on attends toujours notre valise, donc on est limité à regarder les autres se baigner, nos costumes de bain étant dans notre grosse valise. Une heure passe et voilà on est nous aussi dans la piscine. Au souper on se dirige vers le restaurant du soir, au menu du saumon crue, un peu style tar-tar. C'était super bon, sauf que c'est un entrée. J'en ai donc repris, les enfants aussi d'ailleurs on commander l'assiette. Je ne me souviens pas ce que j'ai pris en plat principale par contre.
Après le souper on s'est diriger à nos chambres et on est par la suite sortie pour la fête sur le pont du départ de San Juan. Les gens dansaient et s'amusaient et donc du coup j'ai tout gâché. À un moment donné moi et Marjo ont s'est pogné, j'ai dit la mauvaise chose au mauvais moment, tout à fait moi ça. On s'est retrouvé tous dans la chambre et on a terminé notre journée après une petite réconciliation. Je crois que la fatigue était aux rendez-vous.
mardi 13 mars 2012
Les vacances 2012 - le départ
Samedi, 6h15 am, BEEP BEEP BEEP BEEP, CLAC! On se réveille! Petite douche froide (euh non, très chaude plutôt), on grimpe dans l'auto et on part. Ok, il y a eu pas mal plus d'étapes que ça, je crois qu'on s'est habillé, qu'on a ramassé nos trucs dans la salle de bain, terminer les valises, les descendre en bas (pourquoi j'habite si haut déjà?), habillé les enfants, habillé Marjolaine, valider que le chat restera en vie jusqu'à la visite prochaine d'Éric, encore mille fois merci! Et nourrir les poissons, que c'est inutile des poissons, mais bon quand le prix de la nourriture aura plafonner, je recouvrirai mon investissement!
On part la voiture, on avance, on arrête. Heu, non, on est pas à New York, Marjolaine ne sait plus si elle a bien barrée la porte. Je monte donc pour vérifier, ha oui c'était bien barré, bon je n'irai pas voir si on a laissé les ronds du poêle allumé, anyway, ils sont à induction. Nous voilà donc parti, on plugue le GPS, on entre les coordonnée, 5h50 de route, oh mon dieu, aidez-moi!
Le pont Mercier est ouvert, fiou, je n'avais pas checker, on roule, on se rends au douane, pas le temps de faire un stop au duty free. On passe les douanes, yes!, première étape stressante terminé. Ils nous ont laissé "enlever" les enfants pendant 7 jours aux État-Unis, pouah qui disait que les states avait relevé leur niveau de sécurité. On arrête à Platsburgh, on a faim! Il est 9am...
Émilie et Marjolaine s'émerveille de tout ce qui est Américain, des lacs américains, des arbres américains, des routes, des j'sais pu trop quoi elles me tombent sur les nerfs, alors pendant que Marjo va dans les toilettes je demande à Émilie de cesser de dire ça. Yeah, j'ai gagné elle ne le dit plus, on roule encore sur la 87 sud, on roule, mais roule, ha que c'est long. 11am, on arrête, garage, rempli la tank, rempli le véhicule de trucs à boire, on repart.
On passe le pont rouge, on roule encore et encore, à 14h, alors presque rendu on fait un arrêt pipi, et on mange au restaurant Chili je crois. Si on stationne à la mauvaise place, notre voiture sera "crushed", c'est vrai Jérémie, puisque c'est indiqué. Jérémie nous demande toujours si ce qu'on lui dit est vrai, vaut mieux être prudent quand on est un ado, surtout lorsqu'on me cottoie en fait, oui c'est vrai ça aussi Mott...
On repart, arrive au New Jersey, on passe sur à un endroit ou l'on peut voir la ville de New York sur notre gauche. Je chercher l'empire state building je crois que j'en ai vu 5 lol, à chaque gratte-ciel je croyais que ça y était. On passe un pont qui nous amène à New York, on sait quand on arrive, car la route est pire qu'à Montréal, c'est démoli, avec des trous géant, j'avais peur que la voiture ne casse. On traverse la ville d'ouest en est, on sort et ensuite on se dirige vers la ville Jamaica à Long Island je crois.
Je fais des prouesses de conducteurs en gérant les enfants à l'arrière, la musique, les indications de GPS, les erreurs du GPS, le traffic, heureusement aucun taxi aux alentours et la EZ-Pass, le multitasking à son meilleur, le tout avec un seul core, et ils tenteront de nous dire après que c'est pas du vrai multi-tasking. Bon anyway, on arrive, Jamaica, nous voici, crime, fait frette, 10 degré Celcius, bon ok pas de neige nulle-part mais je croyais qu'il faisait chaud moi en Jamaique.
Notre hôtel existe bel et bien, on ne sait pas fait avoir. J'entre je présente mes papiers ainsi que ma visa, nous recevons les clés de la chambre. Jérémie ne veut pas prendre l'ascenseur jusqu'au 9è, il est clostrophobe, on décide donc d'annuler les vacances et de retourner à Montréal, c'est pas vrai que je vais monter les valises par les escaliers jusqu'en haut et les redescendre demain matin. Bon ok, il a pigé, on l'enferme donc dans une valise après avoir dumper les vêtements dans l'ascenseur et on arrive en haut.
On ouvre la porte, ça y est on est à notre chambre. Marjolaine veut un bain, mais il n'y a qu'une baignoire sans bouchon de bain, mais elle veut une douche. Appel le service, tente de figurer comment dire un bouchon de bain en anglais, finalement j'apprends que c'est un water-stopper. Elle m'indique qu'elle va demander à son ingénieur s'il en on. Quoi? lol, ils doivent consulter un ingénieur pour savoir s'ils ont un water-stopper. Dans la chambre la pression monte, Marjolaine veut son bain.
On nous rappel pour nous dire que oui, fiou, heureusement ça existe, et il vont me l'apporter. Un monsieur viens nous en porter un à la chambre, offrant même de l'installer, ou de me montrer comment ça marche. Je sors alors mes lunettes de table à chevet, m'installe sur une chaise, abaisse les lumières et invite ce chère monsieur à me révélé comment utilisé un bouchon de bain ou water-stopper. On en apprends tous les jours j'vous dit. La réalité c'est que je lui ai tiré des mains, rit en pleine face et j'ai refermé la porte, non mais il me prenne pour un épais, je ne sais peut être pas le nom du truc en anglais mais de là à pas savoir l'installer.
Marjolaine est dans son bain, la pression redescent, on a évité le pire je crois. Jérémie lui veut une douche, on m'appel à la salle de bain, il ne sait pas comment retirer le water-stopper. Faut croire que ça prends plus qu'un secondaire un. On regarde enfin par la fenêtre et on voit l'aéroport, une belle vue sur celle-ci avec vue aussi sur la piste d'atterrissage et du coup de décollage. Là par contre on a faim encore, on va au resto de l'hôtel, ouch, 20$ et plus, pour de la friture. Ouin, on ne s'y fera plus prendre la prochaine fois, ben c'est ce qu'on se dit toujours mais qu'on oublie toujours.
La nuit tout s'allume dans la chambre, les lumières de l'aéroport décor le plafond de notre 1 pièce et demi et les enfants veulent dormir avec la fenêtre ouverte et ainsi faire de notre soirée un vrai party disco avec tous les reflets. J'ai donc mis fin à ça et fermé les rideaux, moi j'ai besoin de noirceur, le plus noire possible. Finalement on arrive à dormir, quoi que j'ai bien voulu écouter l'émission the worst cook in america mais Marjolaine m'a couper ça court avec raison cette fois, heure du levé demain matin 6h15 am.
On part la voiture, on avance, on arrête. Heu, non, on est pas à New York, Marjolaine ne sait plus si elle a bien barrée la porte. Je monte donc pour vérifier, ha oui c'était bien barré, bon je n'irai pas voir si on a laissé les ronds du poêle allumé, anyway, ils sont à induction. Nous voilà donc parti, on plugue le GPS, on entre les coordonnée, 5h50 de route, oh mon dieu, aidez-moi!
Le pont Mercier est ouvert, fiou, je n'avais pas checker, on roule, on se rends au douane, pas le temps de faire un stop au duty free. On passe les douanes, yes!, première étape stressante terminé. Ils nous ont laissé "enlever" les enfants pendant 7 jours aux État-Unis, pouah qui disait que les states avait relevé leur niveau de sécurité. On arrête à Platsburgh, on a faim! Il est 9am...
Émilie et Marjolaine s'émerveille de tout ce qui est Américain, des lacs américains, des arbres américains, des routes, des j'sais pu trop quoi elles me tombent sur les nerfs, alors pendant que Marjo va dans les toilettes je demande à Émilie de cesser de dire ça. Yeah, j'ai gagné elle ne le dit plus, on roule encore sur la 87 sud, on roule, mais roule, ha que c'est long. 11am, on arrête, garage, rempli la tank, rempli le véhicule de trucs à boire, on repart.
On passe le pont rouge, on roule encore et encore, à 14h, alors presque rendu on fait un arrêt pipi, et on mange au restaurant Chili je crois. Si on stationne à la mauvaise place, notre voiture sera "crushed", c'est vrai Jérémie, puisque c'est indiqué. Jérémie nous demande toujours si ce qu'on lui dit est vrai, vaut mieux être prudent quand on est un ado, surtout lorsqu'on me cottoie en fait, oui c'est vrai ça aussi Mott...
On repart, arrive au New Jersey, on passe sur à un endroit ou l'on peut voir la ville de New York sur notre gauche. Je chercher l'empire state building je crois que j'en ai vu 5 lol, à chaque gratte-ciel je croyais que ça y était. On passe un pont qui nous amène à New York, on sait quand on arrive, car la route est pire qu'à Montréal, c'est démoli, avec des trous géant, j'avais peur que la voiture ne casse. On traverse la ville d'ouest en est, on sort et ensuite on se dirige vers la ville Jamaica à Long Island je crois.
Je fais des prouesses de conducteurs en gérant les enfants à l'arrière, la musique, les indications de GPS, les erreurs du GPS, le traffic, heureusement aucun taxi aux alentours et la EZ-Pass, le multitasking à son meilleur, le tout avec un seul core, et ils tenteront de nous dire après que c'est pas du vrai multi-tasking. Bon anyway, on arrive, Jamaica, nous voici, crime, fait frette, 10 degré Celcius, bon ok pas de neige nulle-part mais je croyais qu'il faisait chaud moi en Jamaique.
Notre hôtel existe bel et bien, on ne sait pas fait avoir. J'entre je présente mes papiers ainsi que ma visa, nous recevons les clés de la chambre. Jérémie ne veut pas prendre l'ascenseur jusqu'au 9è, il est clostrophobe, on décide donc d'annuler les vacances et de retourner à Montréal, c'est pas vrai que je vais monter les valises par les escaliers jusqu'en haut et les redescendre demain matin. Bon ok, il a pigé, on l'enferme donc dans une valise après avoir dumper les vêtements dans l'ascenseur et on arrive en haut.
On ouvre la porte, ça y est on est à notre chambre. Marjolaine veut un bain, mais il n'y a qu'une baignoire sans bouchon de bain, mais elle veut une douche. Appel le service, tente de figurer comment dire un bouchon de bain en anglais, finalement j'apprends que c'est un water-stopper. Elle m'indique qu'elle va demander à son ingénieur s'il en on. Quoi? lol, ils doivent consulter un ingénieur pour savoir s'ils ont un water-stopper. Dans la chambre la pression monte, Marjolaine veut son bain.
On nous rappel pour nous dire que oui, fiou, heureusement ça existe, et il vont me l'apporter. Un monsieur viens nous en porter un à la chambre, offrant même de l'installer, ou de me montrer comment ça marche. Je sors alors mes lunettes de table à chevet, m'installe sur une chaise, abaisse les lumières et invite ce chère monsieur à me révélé comment utilisé un bouchon de bain ou water-stopper. On en apprends tous les jours j'vous dit. La réalité c'est que je lui ai tiré des mains, rit en pleine face et j'ai refermé la porte, non mais il me prenne pour un épais, je ne sais peut être pas le nom du truc en anglais mais de là à pas savoir l'installer.
Marjolaine est dans son bain, la pression redescent, on a évité le pire je crois. Jérémie lui veut une douche, on m'appel à la salle de bain, il ne sait pas comment retirer le water-stopper. Faut croire que ça prends plus qu'un secondaire un. On regarde enfin par la fenêtre et on voit l'aéroport, une belle vue sur celle-ci avec vue aussi sur la piste d'atterrissage et du coup de décollage. Là par contre on a faim encore, on va au resto de l'hôtel, ouch, 20$ et plus, pour de la friture. Ouin, on ne s'y fera plus prendre la prochaine fois, ben c'est ce qu'on se dit toujours mais qu'on oublie toujours.
La nuit tout s'allume dans la chambre, les lumières de l'aéroport décor le plafond de notre 1 pièce et demi et les enfants veulent dormir avec la fenêtre ouverte et ainsi faire de notre soirée un vrai party disco avec tous les reflets. J'ai donc mis fin à ça et fermé les rideaux, moi j'ai besoin de noirceur, le plus noire possible. Finalement on arrive à dormir, quoi que j'ai bien voulu écouter l'émission the worst cook in america mais Marjolaine m'a couper ça court avec raison cette fois, heure du levé demain matin 6h15 am.
jeudi 23 février 2012
MedicAlert
Février, tellement déprimant comme période de l'année. Du coup, j'en ai profité pour prendre mes rendez-vous médicale de chirurgie, examen annuel et même de m'inscrire à MédicAlert. J'ai l'impression d'être plus vieux que mon père. Assez poche merci, heureusement on s'en va en croisière la semaine prochaine, je crois mes doigts pour que tout ailles sans pépins.
Demain soir je vais aller faire un tour chez Malhi, question d'oublié le restaurant Taj Mahal. Ce n'était pas vraiment à mon goût, leur pain naan étant trop mou et sucré. De la noix de coco partout, j'aime pas ça moi! Je vais retrouver mes bases, chana samosa, poulet tandoori, beriyani aux légumes, poulet tikka massale et une bonne bière Cobra. Je crois que si j'avais les moyens j'ouvrirais un resto / franchise de Malhi, pas pour rouler la business, juste pour m'assurer d'en avoir un près de chez moi.
Je recommence à penser à mon voilier, Toubabou. Il va avoir besoin d'être retoucher pour la peinture dans le cockpit, probablement aussi du travail à faire sur le rebord car le liston sur son bâbord est en train de décrocher tellement le bois qui le soutien est pourri. Il faudra aussi que j'arrive à régler ce problème pas loin du puit qui fait qu'il y a toujours un peu d'eau sur le plancher.
Va aussi falloir que je figure comment aéré le tout. L'année dernière, deux semaines et la moisissure s'était installé. J'ai ai frotté une shot pour la retirer et j'en ai encore à faire sûrement suite à l'hiver. C'est beau un bateau mais c'est de la job. L'année dernière j'en ai profiter pas mal en début de saison avec de belle baignade mais très peu de voile. J'ai aussi pas pris le temps de sortir sur l'eau que pour y être, sans avoir à naviguer ou tenter de figurer encore comment tout ça fonctionne. Des sorties philosophiques, à rien faire et se laisser aller sur les vagues, je vais tenter d'en faire plus cette année.
Demain soir je vais aller faire un tour chez Malhi, question d'oublié le restaurant Taj Mahal. Ce n'était pas vraiment à mon goût, leur pain naan étant trop mou et sucré. De la noix de coco partout, j'aime pas ça moi! Je vais retrouver mes bases, chana samosa, poulet tandoori, beriyani aux légumes, poulet tikka massale et une bonne bière Cobra. Je crois que si j'avais les moyens j'ouvrirais un resto / franchise de Malhi, pas pour rouler la business, juste pour m'assurer d'en avoir un près de chez moi.
Je recommence à penser à mon voilier, Toubabou. Il va avoir besoin d'être retoucher pour la peinture dans le cockpit, probablement aussi du travail à faire sur le rebord car le liston sur son bâbord est en train de décrocher tellement le bois qui le soutien est pourri. Il faudra aussi que j'arrive à régler ce problème pas loin du puit qui fait qu'il y a toujours un peu d'eau sur le plancher.
Va aussi falloir que je figure comment aéré le tout. L'année dernière, deux semaines et la moisissure s'était installé. J'ai ai frotté une shot pour la retirer et j'en ai encore à faire sûrement suite à l'hiver. C'est beau un bateau mais c'est de la job. L'année dernière j'en ai profiter pas mal en début de saison avec de belle baignade mais très peu de voile. J'ai aussi pas pris le temps de sortir sur l'eau que pour y être, sans avoir à naviguer ou tenter de figurer encore comment tout ça fonctionne. Des sorties philosophiques, à rien faire et se laisser aller sur les vagues, je vais tenter d'en faire plus cette année.
mercredi 22 février 2012
Ouin ouin ouin...
Ce matin, je suis allé à la clinique. Ce que je déteste ça! Quand j'y vais normalement c'est pour quelque chose, de là pourquoi je n’aime pas ça. C'est long, long, l'attente, etc. Il y avait un petit gars assis avec moi dans l'escalier, car il n'y avait pas de salle d'attente, on était dans un genre de couloir avec escalier. Il s'est endormi, dans les marches. J'avais le fou rire, je le regardais pour voir s'il allait tomber ou pas.
Ça m'a fait passer le temps. J'ai bien demandé à sa mère si je devais le réveiller pour pas qu'il se fasse mal au cou, mais elle ne voulait pas. Il ronflait en plus, il a fait ma matinée. Une madame d'un certain âge est arrivée et il arriva ce qui devait arriver, elle se mit à jaser avec une autre femme qui attendait. Je crois qu'elle a jasé de 8 h 30 à 12 h.
Quand ce fût mon tour, ça ne prit que 2 minutes. Je lui ai indiqué que j'avais des grains de beauté qui grossissait, lui ai montré et paf, faut les retirer. Mon verdict était clair, papier de visite chez le chirurgien et voilà. Je me demande combien la société a eu à payer pour ce 2 minutes. Des petits cancers de la peau, mélanome, je crois, que je devrai me faire retirer.
C'est un peu stressant, on ne sait pas trop comment et/ou pourquoi ça s'est mis à apparaître, mais bon depuis que je suis petit et que j'ai peine à comprendre la vie que les médecins me disent de garder un oeil sur mes grains de beauté. Ça à l'air que je ne suis fait pas dire ça pour rien. Là ce que je me dis c'est que si c'est rendu sur ma peau comme ça, ça doit être que l'intérieur est tout rouillé, pourri, etc.
Va falloir que je passe au garage sûrement par après question de retirer les morceaux rouillés, et refaire certaine partie. Ces grains de beauté en moins je vais sûrement aussi avoir à faire faire des touch-ups pour tenter de trouver de la beauté ailleurs, peut être que je vais devoir mieux m'habiller, me peigner ou encore mettre du parfum ou du gèle. Pas sûr que je vais aimer ça.
samedi 28 janvier 2012
Fait beau
En fin de semaine, on est allé au resto indien avec les enfants hier soir. Ce fut bien, quoiqu'au moment de payer le bill c'était très long. On est allé au Tandoor & Grill sur le Boul. des sources. C'est très bien, ce n'est pas Malhi mais ce n’est pas très loin en fait. Marjo dit avoir préféré leur poulet tandoori, c'est vrai qu'il était encore tout fumant quand on l'a reçu et très peu d'os.
Ce samedi midi, on est invité à un diner par le beau-père à la Casa Grecque, ça fait quand même bizarre d'aller dîner dans un tel resto. Dois-je apporter mon vin? Peut-être une bière ou deux sera mieux. Par la suite ma soeur Tessie nous a déniché un groupon pour une partie de Bowling à 6, on va aller se trémousser sur les allées de quilles. La poutine et le breuvage inclus, ainsi que les chaussures. On va s'amuser, j'en suis sûr.
Dimanche matin je prévois faire des oeufs, bacons, toasts et jus d'orange comme déjeuner. Fait un bout que j'ai pas fait ça, je faisais plutôt des recettes genre verrine de brunch, ou oeufs bénédictins lol, ce sera un retour à la base. J'avais un goût de bacon dans la bouche, j'espère juste ne pas le gâcher, avec ma plaque de cuisson j'ai toujours de la misère à le faire cuire à la perfection, il est toujours un peu trop brûler.
Dimanche après-midi, nous sortirons peut-être pour aller patiner à l'extérieur. Profiter du temps qui semble assez clément ces derniers jours. Pour ce qui est de dimanche soir je n'ai rien de planifier, évachage devant la télévision ou autre truc du genre. Une bonne fin de semaine rempli, j'aime ça comme ça.
vendredi 30 décembre 2011
Bizarre, mais je m'amuse avec une langue
J'ai reçu mon correcteur ce matin. J'ai donc commencé à corriger mes billets passés et ce que j'adore de ce correcteur c'est qu'il explique les situations et les erreurs. Non seulement je corrige mes textes, mais je peux mieux saisir mes erreurs et me rappeler les fameuses règles que j'ai oublié d'appliquer. Aussi, l'achat pour l'installation sur 3 ordinateurs. Je vais donc pouvoir en faire profiter ma copine et les enfants.
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