Ce soir, j'ai vécu quelque chose de super excitant... Et pour vous faire languir, je vais parler de n'importe quoi et quelque part dans le texte je vais vraiment en parler hahaha. Bon ok... Alors débuttons par le début, ce soir, la compagnie a fêter ça dernière journée d'existence indépendante. À partir de demain, Colubris appartient réellement et officieusement à HP.
Nous sommes donc allez au Skratch, de 17h à 19-20h je crois nous avons mangé un buffer et but de la bière. Je crois que j'en ai bu comme 3 bucks. Par la suite j'ai pris un bon pepsi, j'avais de la misère à digérer. J'ai tellement jouer mal au billard que ça ne vaux même pas la peine d'en parler. Ce fut par contre fort agréable de jaser et voir les autres jouer mieux que moi. À la fin, les collègues voulaient finir ça aux danseuses.
Nous sommes donc aller au bar de danseuses le plus près et nous avons regardé quelques jolies demoiselles. J'étais d'ailleurs surpris par la beauté de quelques unes. Mais bon, on avait plus de fun de parler de sex et de filles et des gars dans le groupe qui n'avaient jamais été dans l'isoloir alors on leur a payé des danses. Ce fut très le fun comme soirée. Vers 23h on a décidé de terminer ça, déjà la moitié du groupe était parti et nous n'étions plus que 4. J'ai raccompagné deux des quatre chez eux.
En revenant chez moi, j'ai pris la 720 en direction de l'ouest. Par la suite j'ai pris la bretelle vers le pont champlain, je crois que c'est la 15 sud mais pas trop sûr des noms. Tout c'est passé dans cette bretelle. L'heure 23h30, condition pluvieux, pas trop mais juste assez. J'étais en train de penser à quelque chose, je me demande encore ce à quoi je pensais.
Cette bretelle tourne vers la gauche continuellement jusqu'à la fin. Alors, sans trop réfléchir car j'étais deep dans des pensées, je tournait le volant pour suivre la trajectoire. Aucun problème, sauf que. Oui, sauf que, quelque chose est arrivé. Je crois que ce ne fut pas de mon contrôle. La voiture à commencer à glisser. Oui, elle glissait, vers la droite. Alors que j'avais entrepris le tournant sans trop de problème jusqu'à ce point, ce point fut le départ de l'aventure.
La voiture glissa vers la droite, mes roues encore tourné vers la gauche. Un coup de freins et un peu de jouage de volant je peux rétablir un contact avec l'asphalte, quelque micro secondes plus tard j'évitais par miracle le côté droit de la bretelle. Je croyais que c'était fini mais non, mon coup de volant était trop vers la gauche et la voiture me montra le côté gauche de cette bretelle et je m'y dirigait directement à une très bonne vitesse pour possiblement passé par-dessus la protection et tomber dans le vide. Un autre coup de frein et un coup de volant et je pu éviter de nouveau.
Ce n'était pas fini, bien que mon coup de frein et coup de volant fut assez pour éviter de prendre la protection en bêton, celui-ci ne fut pas assez pour rétablir l'arrière-train de la voiture qui continuait à glisser à gauche, un autre coup de frein et volant et un peu de gaz et je pus reprendre contrôle de ma voiture. J'ai littéralement fait un zig zag incroyable dans une bretelle large pour une voiture et demi. J'aimerais en fait tellement obtenir les vidéos de circulation pour revoir ça. Ce fut une expérience des plus spéciales, surtout que cette bretelle est à une hauteur effrayante du sol et que quelqu'un y est déjà passé par-dessus bord.
Ce qui me fait dire que quelqu'un veille sur moi, ou que les jeux vidéos mon équippés de connaissance et de réflexe pour bien réagir. Ou autre aurais-je pu apprendre à faire des dérrapages contrôlé dans une courbe à plus de 70km/h hehehe. Pendant que c'est arrivé je n'avais pas vraiment peur, sauf au troisième dérrapage, j'avais en fais beaucoup plus peur d'accrocher ma voiture que pour moi. J'hais aller au garage.
Lorsque la voiture s'est remis à suivre mes mouvements au volant, j'ai eu un moment de bonheur intense. J'étais content d'avoir vécu ces 3 dérapages, genre jamais je ne l'aurais fais volontairement mais vers 3 80 degré à cette vitesse sur une bretelle d'autouroute à cette hauteur du sol, wow... C'était quelque chose. Là, si quelqu'un a ça sur tape sur les caméras de surveillance, s.v.p., me l'envoyé c'était trop débile le vivre, je veux le voir sur vidéo!
Anyway j'ai trouvé ça trop hot alors je voulais l'écrire ici.
mardi 30 septembre 2008
jeudi 25 septembre 2008
Ciel dégagé, tête ennuyagée
Semaine prochaine, vacance! Je planifie rien, je vais voir ce qui arrivera. Mon but, dormir... Faire un peu le party et penser. Si j'arrive à retrouver le goût il se peut même que je commence à écrire une application que je conçois dans ma tête depuis plusieurs mois. Sinon, rien, relaxer, végéter, essayer de mangé afin de rester en vie et c'est pas mal ça, ha oui, toilette et douche ;).
On est Jeudi et je suis pogné sur un problème au travail qui prends des longues minutes à reproduire et je dois le faire et refaire afin de tracker la source de ce problème et c'est long! Très long! Et très plate. J'ai hâte d'avoir trouvé ce foutu problème pour enfin pouvoir passer à la prochaine étape, concevoir une solution et l'appliquer. J'voudrais déjà partir chez moi et simplement dormir!
Mardi dernier, ma soeur Chantal, mon beau-frère Éric et son fils Frédéric étaient chez moi pour voir le match du Canadien joué à Roberval. Il y a avait aussi mes 3 amies Karine, Mariane et Martine. Un ancien collègue de travail qui est aussi devenu un ami s'est pointé, Martin Bouchard. Il m'a raconté ce qu'il fait maintenant et il s'amuse d'après le sourire qu'il avait dans le visage. Je suis très content pour lui.
Au bureau nous, ça commence à bouger, les derniers jours officiel de la compagnie Colubris sont là, on aura un petit party Mardi soir, qui techniquement sera le dernier jour de la compagnie. Par la suite, nous deviendront une compagnie sous HP et seront intégrer sous peu comme de vrai employé de HP. C'est excitant, je crois...
Hier soir, ce fut la première pratique musicale de notre Harmonie. Je suis content d'avoir du beaucoup de gens. Nous avons décidé de faire 4 pratiques d'essais, permettant ainsi à des anciens ou des nouveaux de se joindre à nous et voir ce que c'est. J'espère qu'à la fin de ceux-ci les gens s'inscriront et paieront la cotisation.
Après la pratique on est allé au bar l'UVE, Karine, Mariane et moi. Nous avons but un peu et jasé. Les filles voulaient aller à Hawaï, c'était drôle de les voir se faire aller les bras de chaque côté. Elles s'y voient déjà. Karine m'a aussi sous l'effet de l'alcool expliqué le processus de Transciption de l'ADN. Les molécules hélicase je crois qui sépare les bases qui sont relié par de l'hydrogène. Par la suite, une autre molécule installe des amorce sur le brin de base appellé l'ARN et le polymérase III passe sur ce brin et attache des nucléides de façon à ce que les T soit avec les U et les c avec les G. Et l'autre brin de base lui c'est le brin retardé et il est reconstruit en segment avec plusieurs amorces. Mais le brin retardé n'a pas de U, le T ce retrouve avec le a... Il se peut que je me trompe aussi entre le T et le A mais pas grave. J'en ai quand même retenu pas mal considérant notre état à ce moment de la soirée.
Nous avons mis fin à notre soirée car le corps non étrangé Mariane avait consulté l'espace temps et avait décidé que le processus de séparation était pour commencer. Elle commença par tirer les bras de Karine afin de lui faire franchir l'étape de la porte, mais celle-ci résista afin de dire bonsoir aux gens autour. Le corps de Yannick suivit et repoussa à l'aide de vibration dans l'air formant des mots qui interpella le corps de Karine. Les trois corps réussirent à s'extraire de la zone bar et transféra vers la zone dehors. Après avoir le croisement des veines Springland et Monk, les corps répondirent à des bactéries communiment appelé Ados qui nous criaient des bétises.
Après la guerre, les trois corps étaient toujours en vie et rejoignis la veine Briand pour atteindre le point de sépration finale. Après quelques aux revoirs, les trois corps relié par des l'airs se détacha l'aun de l'autre. Deux de ceux-ci entra dans la maison et l'autre, le corps reproducteur, lui s'éloigna vers une autre venne. Après 3-4 vennes, le corps de Yannick remonta chez lui et attendait et tomba dans un piège: le sommeil.
On est Jeudi et je suis pogné sur un problème au travail qui prends des longues minutes à reproduire et je dois le faire et refaire afin de tracker la source de ce problème et c'est long! Très long! Et très plate. J'ai hâte d'avoir trouvé ce foutu problème pour enfin pouvoir passer à la prochaine étape, concevoir une solution et l'appliquer. J'voudrais déjà partir chez moi et simplement dormir!
Mardi dernier, ma soeur Chantal, mon beau-frère Éric et son fils Frédéric étaient chez moi pour voir le match du Canadien joué à Roberval. Il y a avait aussi mes 3 amies Karine, Mariane et Martine. Un ancien collègue de travail qui est aussi devenu un ami s'est pointé, Martin Bouchard. Il m'a raconté ce qu'il fait maintenant et il s'amuse d'après le sourire qu'il avait dans le visage. Je suis très content pour lui.
Au bureau nous, ça commence à bouger, les derniers jours officiel de la compagnie Colubris sont là, on aura un petit party Mardi soir, qui techniquement sera le dernier jour de la compagnie. Par la suite, nous deviendront une compagnie sous HP et seront intégrer sous peu comme de vrai employé de HP. C'est excitant, je crois...
Hier soir, ce fut la première pratique musicale de notre Harmonie. Je suis content d'avoir du beaucoup de gens. Nous avons décidé de faire 4 pratiques d'essais, permettant ainsi à des anciens ou des nouveaux de se joindre à nous et voir ce que c'est. J'espère qu'à la fin de ceux-ci les gens s'inscriront et paieront la cotisation.
Après la pratique on est allé au bar l'UVE, Karine, Mariane et moi. Nous avons but un peu et jasé. Les filles voulaient aller à Hawaï, c'était drôle de les voir se faire aller les bras de chaque côté. Elles s'y voient déjà. Karine m'a aussi sous l'effet de l'alcool expliqué le processus de Transciption de l'ADN. Les molécules hélicase je crois qui sépare les bases qui sont relié par de l'hydrogène. Par la suite, une autre molécule installe des amorce sur le brin de base appellé l'ARN et le polymérase III passe sur ce brin et attache des nucléides de façon à ce que les T soit avec les U et les c avec les G. Et l'autre brin de base lui c'est le brin retardé et il est reconstruit en segment avec plusieurs amorces. Mais le brin retardé n'a pas de U, le T ce retrouve avec le a... Il se peut que je me trompe aussi entre le T et le A mais pas grave. J'en ai quand même retenu pas mal considérant notre état à ce moment de la soirée.
Nous avons mis fin à notre soirée car le corps non étrangé Mariane avait consulté l'espace temps et avait décidé que le processus de séparation était pour commencer. Elle commença par tirer les bras de Karine afin de lui faire franchir l'étape de la porte, mais celle-ci résista afin de dire bonsoir aux gens autour. Le corps de Yannick suivit et repoussa à l'aide de vibration dans l'air formant des mots qui interpella le corps de Karine. Les trois corps réussirent à s'extraire de la zone bar et transféra vers la zone dehors. Après avoir le croisement des veines Springland et Monk, les corps répondirent à des bactéries communiment appelé Ados qui nous criaient des bétises.
Après la guerre, les trois corps étaient toujours en vie et rejoignis la veine Briand pour atteindre le point de sépration finale. Après quelques aux revoirs, les trois corps relié par des l'airs se détacha l'aun de l'autre. Deux de ceux-ci entra dans la maison et l'autre, le corps reproducteur, lui s'éloigna vers une autre venne. Après 3-4 vennes, le corps de Yannick remonta chez lui et attendait et tomba dans un piège: le sommeil.
samedi 20 septembre 2008
L'air qui m'entourre
Je n'ai aucune idée de ce que je vais écrire, et je regardais tout autour et je voyais rien d'intéressant. C'est alors que j'ai vu l'air. Celui qui rempli ma maison et qui me fait pression chaque jour et nuit. Cet air a vu des choses ici qui fut plutôt plaisant. Des souvenirs sont encore ici, probablement transporter dans les airs justement par ce gaz qui flotte autour.
C'est possiblement pour ça que chaque fois que je suis seul ici, les souvenirs les plus agréables que j'ai eu me réapparaissent et me donne le goût de les revivre. Ce n'est que des petits moments comme ça qui passe et qui me font re-vivre des moments de pure bonheur. Ils furent nombreux ces moments, même si je suis ici que depuis 2 ans. Ma première visite, ma première maison, elle me marque.
Vivre dans le passé est quelque chose de trop facile à faire. C'est très agréable aussi mais il faut que je sorte d'ici un jour. Que je retrouve des nouveaux moments qui seront je l'espère tout aussi heureux que ceux du passé. Ce n'est pas facile considérant que l'expérience vécu maintenant affecte ma vision et rends les choses plus noir.
C'est le même principle qu'un chat qui se brule. La deuxième fois, il s'en crisse pas mal que l'eau soit froide ou tiède, il va juste rester très loin de celle-ci. Et ce même si après démonstration l'eau n'était effectivement pas bouillante. La mémoire de douleur reste et elle noirci la vision. Il n'y a pas de guérison, juste une acceptation et une volonté de passé outre.
Reste que celle-ci est difficile à conserver. Le moindre moment de relâche et les bonheurs de l'ancien temps reviennent immersé les pensées. Il faut alors trouver un moyen d'éviter que ces moments ne dure trop longtemps et persistent. Rien de mieux que de parler et de converser. Mon amie Karine N. est rendu cette personne qui lorsque je reste un peu trop accroché, elle fait vibré la fibre du speaker et me jase sur MSN. Grâce à elle, c'est temps sont que trop agréable.
Je dis que trop, parce que la chute est toujours plus grand lorsqu'on est trop haut. J'ai subit une chute de si haut que je ne désire plus atteindre les haut sommets. Je crois que je vais me contenter de colines et de vagues et laisser les montagnes pour les débutants qui n'ont jamais connu la chute. Je les regarderai et dans leur bonheur je pourrai revoir le mien, en espérant qu'eux ne tombent jamais. Je ne veux même pas leur raconter ma chute, de peur qu'une personne un peu trop prévoyante tente de l'éviter et n'atteigne jamais le haut de la montagne, là ou il fait si bon vivre.
C'est possiblement pour ça que chaque fois que je suis seul ici, les souvenirs les plus agréables que j'ai eu me réapparaissent et me donne le goût de les revivre. Ce n'est que des petits moments comme ça qui passe et qui me font re-vivre des moments de pure bonheur. Ils furent nombreux ces moments, même si je suis ici que depuis 2 ans. Ma première visite, ma première maison, elle me marque.
Vivre dans le passé est quelque chose de trop facile à faire. C'est très agréable aussi mais il faut que je sorte d'ici un jour. Que je retrouve des nouveaux moments qui seront je l'espère tout aussi heureux que ceux du passé. Ce n'est pas facile considérant que l'expérience vécu maintenant affecte ma vision et rends les choses plus noir.
C'est le même principle qu'un chat qui se brule. La deuxième fois, il s'en crisse pas mal que l'eau soit froide ou tiède, il va juste rester très loin de celle-ci. Et ce même si après démonstration l'eau n'était effectivement pas bouillante. La mémoire de douleur reste et elle noirci la vision. Il n'y a pas de guérison, juste une acceptation et une volonté de passé outre.
Reste que celle-ci est difficile à conserver. Le moindre moment de relâche et les bonheurs de l'ancien temps reviennent immersé les pensées. Il faut alors trouver un moyen d'éviter que ces moments ne dure trop longtemps et persistent. Rien de mieux que de parler et de converser. Mon amie Karine N. est rendu cette personne qui lorsque je reste un peu trop accroché, elle fait vibré la fibre du speaker et me jase sur MSN. Grâce à elle, c'est temps sont que trop agréable.
Je dis que trop, parce que la chute est toujours plus grand lorsqu'on est trop haut. J'ai subit une chute de si haut que je ne désire plus atteindre les haut sommets. Je crois que je vais me contenter de colines et de vagues et laisser les montagnes pour les débutants qui n'ont jamais connu la chute. Je les regarderai et dans leur bonheur je pourrai revoir le mien, en espérant qu'eux ne tombent jamais. Je ne veux même pas leur raconter ma chute, de peur qu'une personne un peu trop prévoyante tente de l'éviter et n'atteigne jamais le haut de la montagne, là ou il fait si bon vivre.
samedi 6 septembre 2008
Ce pourquoi...
J'écris aujourd'hui afin de changer le rythme. Ce Samedi feel comme un Dimanche. Tentons de renverser la vapeur en revenant sur ce que j'ai fais ces derniers temps.
Le plus gros événement de mon été a probablement été ma sortir de camping chez Carl. Ce fut fort agréable d'accompagner deux amies: Karine et Mariane. Son chalet est situé tout prêt de St-Adèle et c'est très reculé dans le bois. Lorsque nous sommes arrivé sur place nous avons fais connaissance avec sa copine Sylvia et ces deux enfants. Deux autres amis allait apparaître plus tard car ils étaient parti à la plage.
Ça n'a pas pris de temps que j'étais en train de me battre avec les deux enfants, et une fois par terre, comme à l'habitude, un des deux enfants s'est fait mal je crois et s'est mis à pleurer. Que voulez-vous, c'est le seul moment ou je peux me montrer le plus fort. Sylvia préparait des légumes dans une cocotte en fonte. Carl lui préparait le feu de camp.
Karine et Mariane on monté la tente et je me suis rendu utile en devenant pendant un cour instant le pilier principal qui tenait le toit de la tente. Vous voyez comme j'étais choyé... Ce fut le repas et par la suite on s'installa tous prêt du feu. Un des amis de Carl sorti la guitare et queques chansons plus tard, K et M voulait allez se baigner.
Il était environ 23h je crois, je décida d'y aller moi aussi. Sylvia nous accompagna au lac avec la lampe de poche. Après avoir mis un pied et ensuite l'autre, c'était clair dans mon esprit que nous ne resterons pas dans cette eau glacé très très longtemps. Karine me suivit et Mariane ne pris pas de temps et rentra sous l'eau. Lorsque l'eau m'arriva à l'entre-jambe, une alerte sonna dans ma tête ("Heille le cave c'est trop froid) et je repris la direction de la rive.
Mariane en sortant nous a nargué car elle avait été la seule a y aller complètement. Je n'ai comme pas été capable d'en entendre plus et je suis donc retourné et j'ai été jusqu'au cou. La tête elle n'aime pas l'eau alors elle est resté en surface. C'était tellement froid que je me suis rappelé les piscine froide du polar bear club. Une fois sorti, Karine en fit autant et entra complètement dans l'eau.
On a tous apprécié en sortir je crois. De retour devant le feu de camp, Carl a pris des photos. Moi qui avait remis mes shorts sur mon maillots trempé, j'en ai eu pour une autre risé lorsque Carl nous a montré les photos et à cause du flash, il était facile de voir que mes shorts était mouillé au point qu'on pouvait facilement croire que j'avais fait pissé dans mon short.
Au couché, je m'installa dans mon sleeping bag entre Karine et Mariane, ce qui fit quelques jaloux qui allait dormir dans la tente d'à côté. On a pas mal rit sur les commentaires qui sorti de tous les bouches à ce moment là. J'ai en fait très bien dormi pendant la nuit. Le réveil fut plus dur. La chaleur dans la tente ainsi que l'humidité fut la raison de notre réveil je crois.
Le reste de la journée on a jasé un peu et on a fait une petite excursion dans la forêt avec le guide Sylvia qui nous amena voir une rivière un peu plus haut. C'était un beau coin pour se reposer et se baigner mais considérant que la température avait chuter on a pas tenter notre coup cette fois-là. Le retour à Montréal fut sans pépin. Et j'ai dormi et dormi et dormi par la suite...
Le plus gros événement de mon été a probablement été ma sortir de camping chez Carl. Ce fut fort agréable d'accompagner deux amies: Karine et Mariane. Son chalet est situé tout prêt de St-Adèle et c'est très reculé dans le bois. Lorsque nous sommes arrivé sur place nous avons fais connaissance avec sa copine Sylvia et ces deux enfants. Deux autres amis allait apparaître plus tard car ils étaient parti à la plage.
Ça n'a pas pris de temps que j'étais en train de me battre avec les deux enfants, et une fois par terre, comme à l'habitude, un des deux enfants s'est fait mal je crois et s'est mis à pleurer. Que voulez-vous, c'est le seul moment ou je peux me montrer le plus fort. Sylvia préparait des légumes dans une cocotte en fonte. Carl lui préparait le feu de camp.
Karine et Mariane on monté la tente et je me suis rendu utile en devenant pendant un cour instant le pilier principal qui tenait le toit de la tente. Vous voyez comme j'étais choyé... Ce fut le repas et par la suite on s'installa tous prêt du feu. Un des amis de Carl sorti la guitare et queques chansons plus tard, K et M voulait allez se baigner.
Il était environ 23h je crois, je décida d'y aller moi aussi. Sylvia nous accompagna au lac avec la lampe de poche. Après avoir mis un pied et ensuite l'autre, c'était clair dans mon esprit que nous ne resterons pas dans cette eau glacé très très longtemps. Karine me suivit et Mariane ne pris pas de temps et rentra sous l'eau. Lorsque l'eau m'arriva à l'entre-jambe, une alerte sonna dans ma tête ("Heille le cave c'est trop froid) et je repris la direction de la rive.
Mariane en sortant nous a nargué car elle avait été la seule a y aller complètement. Je n'ai comme pas été capable d'en entendre plus et je suis donc retourné et j'ai été jusqu'au cou. La tête elle n'aime pas l'eau alors elle est resté en surface. C'était tellement froid que je me suis rappelé les piscine froide du polar bear club. Une fois sorti, Karine en fit autant et entra complètement dans l'eau.
On a tous apprécié en sortir je crois. De retour devant le feu de camp, Carl a pris des photos. Moi qui avait remis mes shorts sur mon maillots trempé, j'en ai eu pour une autre risé lorsque Carl nous a montré les photos et à cause du flash, il était facile de voir que mes shorts était mouillé au point qu'on pouvait facilement croire que j'avais fait pissé dans mon short.
Au couché, je m'installa dans mon sleeping bag entre Karine et Mariane, ce qui fit quelques jaloux qui allait dormir dans la tente d'à côté. On a pas mal rit sur les commentaires qui sorti de tous les bouches à ce moment là. J'ai en fait très bien dormi pendant la nuit. Le réveil fut plus dur. La chaleur dans la tente ainsi que l'humidité fut la raison de notre réveil je crois.
Le reste de la journée on a jasé un peu et on a fait une petite excursion dans la forêt avec le guide Sylvia qui nous amena voir une rivière un peu plus haut. C'était un beau coin pour se reposer et se baigner mais considérant que la température avait chuter on a pas tenter notre coup cette fois-là. Le retour à Montréal fut sans pépin. Et j'ai dormi et dormi et dormi par la suite...
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