dimanche 25 janvier 2009

fais froid dehors

Arg, c'est la partie de l'année que je trouve chiante. Quand on sors dehors et que l'on gèle au point ou notre nez coule. Je fais donc l'hermite le plus possible, j'aime pas ce genre de température. J'ai pas assez de gras isolant pour pouvoir y faire face anyway. Sauf que ça limite beaucoup mes options, par chance j'ai des amis qui peuvent m'apporter des trucs en venant me visiter hahaha.

J'ai hâte à la chaleur future, si ce n'était pas de ma trouille et de ma famille je crois que je serais déjà parti d'ici pour un endroit chaud pendant 12 mois, mais j'ai pas la force et le courage nécessaire de partir et me débrouiller tout seul et rebâtir une vie. Surtout que celle-ci va quand même relativement bien, manque quelques éléments importants je l'avous mais c'est quand même très bien.

Là, va falloir que je fasse comme je me suis promis de faire en 2009, et me trouver un médecin et un psy, pour aller me faire évaluer, question de mieux comprendre tout ce qui m'arrive et peut être mieux y faire face. Depuis deux jours, mes deux petits doigts gèlent vers 19h... vraiment étrange. Les autres doigts sont bien ok et c'est dans les deux mains que ça gêle, ça pars après quelque temps c'est trop bizarre.

Le soir, mon corps me pique, mais ce n'est pas tout les soirs et on dirait que c'est relier au fait que je n'ai pas la tête pleine. Genre si je suis calme et que je me couche ça me pique partout. Mais si je suis entrain de penser à des trucs et que je me couche à la, tout va bien. C'est vraiment bizarre... J'ai beau essayé de lavé les draps plus souvent, changé ma couverte avec laquelle je fais contacte ou d'autres trucs on dirait que seul le fait de ne penser à autre chose empêche le phénomène.

Vendredi soir j'ai joué au Hockey et c'était encore une fois spéciale, je n'avais pas de souffle, j'avais mal à la hauteur de l'estomac mais pas une crampe. Ma vue n'était pas aussi clair, mon focus était dans le champs et pas d'énergie. Je me demande si je fake ou si j'ai un problème quelque part. Je dis ça parce que souvent j'exagère tout et donc mon cerveux exagère peut être systématiquement ma condition...

samedi 17 janvier 2009

Je sais mais...

Je sais que ce n'est pas bon de penser au passé et tout, reste que ce soir encore je m'ennuis de mon amour. Cet amour maintenant impossible, et que je n'ai jamais mérité. Reste que ça me manque énormément. Ma vie tout seul est assez vide merci. Par chance que l'espoir existe. Au moins si elle était toujours ici, je pourrais me glisser dans ses bras.

Je crois par contre dans mes dernières années avec elle que j'ai manqué de lui dire que je l'aimais. J'ai oublié que ce que j'avais était de l'or et que c'était précieux et de ne jamais cesser d'y mettre tout ce que je pouvais. J'ai joué à des jeux alors qu'elle étudiait et travaillait, j'aurais sûrement dû rester toujours près d'elle, lui faire des massages et l'écouter lorsque ça n'allait pas pour elle.

Là, aujourd'hui je dois vivre les soubressauts de cette peine et mettre tout ça le plus vite possible de côté pour ne pas continuellement souffrir. Si une autre personne était dans ma vie, celà aiderait sûrement, reste que même si je souhaite que ça devienne le cas un jour, je n'arrive pas à m'y faire. J'ai beau me dire que ça va marcher, je me dis toujours que ce qui m'est arrivé avec mon ancien amour ne peut pas être revécu.

En fait, cet amour s'est développé car fort probablement nous étions très jeune. Si on s'était rencontré plus vieux, je ne crois pas une seconde qu'elle m'ait accordé même une once d'importance. Puisque je ne suis pas sociale, j'ai peine à concevoir qu'un jour je vais réussir à rencontrer quelqu'un. Mon seul outil est les site web de rencontres car j'ai aucun désire d'aller cruiser dans les bars.

De toute façon, c'est très difficile de voir comment une femme pourrait m'aimer anyway. Je suis lâche, paresseux et pleins de clichés. En fait, je croyais être très différent des gars en général, alors qu'en fait je suis en plein dans le milieu. Le plus typique des gars au niveau psychologique. Plein de préjugé et macho, reste qu'à part ça je ne vaux pas grand chose.

Je m'essouffle rapidement, donc j'ai pas d'énergie et même lorsque j'ai de l'énergie ma force est casi nulle. Je me souviens souvent avoir perdu des combats de force contre de petite femme tellement j'en ai pas. C'est désolant, au moins j'ai la force nécessaire pour écouter le hockey et travailler sur un ordinateur, imaginez si j'étais présent 100 ans passé, j'aurais probablement jamais réussi quoi que ce soit...

mardi 13 janvier 2009

À la recherche du sommeil

Chaque soir, je suis malade, je vomis des souvenirs, je rêve à des remèdes. Lorsque la sonnerie retentie, ma maladie elle, n'y ressent aucun effroi. Un jour, cette maladie d'amour, je l'espère, se guérirra. Pour l'instant, j'écris, et demain on verra. Les doigts croisés, j'ai espoir de trouver une nouvelle énergie, et je souhaite la même chose à mes amis.

jeudi 8 janvier 2009

Autrefois

Autrefois, j'aurais écris que des choses généralements positives. J'aurais été plein de pep, et j'aurais des idées folles mais auxquelles je croirais constamment. Le monde m'était disponible, je pouvais y faire n'importe quoi, j'étais heureux.

Ce que je ne suis plus, j'ai beau sourrire, trouver que tout va bien. L'air bête s'affiche de façon constante à mon visage. Je suis rendu à penser à sourrire, afin de minimizer le nombre de question à mon égard. C'est ce que j'appelle du question-control.

Le changement s'est fait en une nuit. À l'âge de 31 ans, mon monde à chaviré. La joie est devenu de la peine, l'espoir est devenu du mépris. J'ai voulu changer tout ça et j'ai fais de la peine à une personne qui ne le méritait vraiment pas.

Tout comme j'ai été condamné à l'excellence, je semble maintenant condamné à la tristesse. Tout va bien et rien ne va. Je continue de tenter de voir le positif dans mes actes, reste que je ne vois que le néant. J'espère un jour revivre des jours d'antan, et ce, malgré que je n'ai que 32 ans.

lundi 5 janvier 2009

Robert

Ce soir je vais vous parler de Robert Doucet, c'est un garçon super que j'ai connu en jouant dans ma ruelle je crois ou peut être par le biais de ma soeur Tessie qui devait peut être connaître la soeur de Robert. Je ne me souviens plus trop du début, par contre, je sais que j'ai accepté Robert dans mes amis sans difficulté. Je m'entendais bien avec lui, on jouait au Hockey dans la ruelle ou on cherchait des trucs a faire dans le coin.

Son père travaillait chez Riendeau, un dépanneur situé sur la rue Monk qui maintenant est devenue l'extention d'un magasin de vélo. Alors que son père travaillait dans le dépanneur on y allait souvent prendre des trucs, sachet de jus, ou bonbon, son père était très gentil avec nous. Robert était très fort lorsqu'il était jeune et il est devenu réellement très fort plus tard. La dernière fois que j'ai été chez lui il se pratiquait à l'altérophilie, et depuis il a gagné certaine compétition au Québec.

Je l'ai recroisé voilà quelques années dans un autobus et il étudiait en médecine je crois. J'étais surpris de le voir dans un autobus d'ailleurs, car lorsqu'il était jeune il ne pouvait pas embarquer dans le voiture sans être malade. Il devait prendre des médicaments je crois afin de ne pas l'être. C'est un peu ce qui a cassé nos relations car l'été mes parents m'amenait la passé à St-Hyacinthe dans au chalet.

Je voyais donc Robert dans la période de l'école, reste qu'il était plus vieux je crois et que je ne l'ai pas croisé dans l'école. Robert m'a défendu une ou deux fois, il n'aimait pas se battre ni que les autres se battent. Sauf que s'il le devait, il était là pour séparé les gens qui se battaient ou bien pour protéger les plus faibles, comme moi. Robert c'est un bon gars, peut-être qu'il était doux à cause de son nom de famille.

À pars avoir joué très longtemps avec lui, je me souviens aussi d'une grosse stupidité que j'ai fais contre lui. J'étais probablement trop jeune pour tout comprendre, reste que chez moi, David, lui et moi on avait enregistré des conneries sur une cassette. Je vous parlerez de David dans un autre poste. Alors on parlait on disait des conneries et on imitais des gens. On faisait même des sketchs auditifs.

Un moment donné David et moi on a commencé à niaisé sur Robert et il était avec nous, genre chacun notre tour on effectuait des sketchs à deux alors que l'autre s'occupait d'appuyer sur stop ou record. Et sur notre coup, on a ne savais plus quoi trop dire, après 4-5 sketchs et on commencer un sketch qui a fini par parler de Robert et nous l'avons pas mal descendu. Robert après quelques minutes ne nous trouvais plus drôle du tout et il est parti.

Par contre, David et moi on a continué, on a aussi inclus d'autres membres de sa famille. Non seulement on s'est marré d'eux comme il faut, mais après j'ai fais écouter ça à ma petite soeur Caroline, qui avait 4 ans de moins que moi. C'était de l'humour blessant, baveux et gratuit, ma petite soeur un jour a trouvé ça tellement drôle (elle n'y comprenait pas grand chose) qu'elle a emprunter ma cassette et mon magnétoscope et elle est allée le faire écouter à la famille doucet.

Elle connaissait les Doucet car elle s'y faisait garder je crois, ce n'est plus trop clair. Reste qu'elle voulait qu'eux aussi trouve ça drôle et rit de nos jokes. Sauf que là, moi je me suis fais pogné. Mes parents ayant appris ça, en fait surtout ma mère, elle me demanda d'aller faire mes excuses. Ce que je fis immédiatement, je n'avais pas trop réalisé à ce moment là qu'on pouvait faire du mal à des gens en enregistrants des conneries sur eux.

Je m'en veux souvent d'avoir fais ça, c'est quelque chose qui m'a marqué. Aujourd'hui je suis toujours baveux, mais je réserve ma capacité de descendre une personne qui si elle me fait réellement chier uniquement. Ce talent m'a aidé à quelques reprises de me sortir de situation ou j'ai dû répliquer à des garçons qui étaient méchant avec moi à l'école, et en voyant que je les blessais plus qu'eux n'arrivaient à le faire sur moi, je me suis fais une place.

Sauf que c'est pas quelque chose que j'aime faire. D'ailleurs, lorsque je fais des farces et que je ne ris pas c'est que normalement je suis méchant. J'ai remarqué ça, plus qu'autrement je le suis contre moi. Je ris beaucoup de moi, et je me descend très souvent. Si je vois une farce qu'une personne aurait pu faire sur moi et me descendre et qu'il ne la fait pas il m'arrive de la faire à sa place. Les gens sont souvent étonné c'est comme si je me bavais moi-même. Et effectivement, je goûte à ma médecine afin de ne pas oublié.

C'est beaucoup moins pratique dans le monde adulte. Reste que quand on n'a pas de muscle on doit se trouver une arme ou une défense. Moi j'ai trouvé ça comme arme et ma défense était mon détachement. Je me souviens avec Robert on jouait tellement au Hockey qu'un moment donné on avait perdu toutes nos balles oranges.

On a dû passé une journée à parcourir les endroits qu'on jouait et monter sur les toits pour récupérer des balles soit lancé là par nous ou par d'autres personnes. Je suis monter sur le toit de l'école N.D.P.S. sur la rue Beaulieu/Hamilton. Et lorsque je suis venu pour descendre j'étais incapable. J'ai été saisi de peur, Robert et David je crois m'ont aidé à redescendre de ce toit qui m'avait pas donné de résistance pour monter dessus pourtant.

Outre le hockey, on a aussi joué à l'Oeuil Noir. Dans ces temps-là je lisais des livres dont vous êtes le héros. J'adorais ça, et un jour j'ai connu l'Oeuil Noir, des livres dont vous êtes le maîtres et les gens peuvent suivre l'aventure et c'est vous qui décidé ce qui arrive et le livre lui sers de guide. Il explique par exemple comme le dongeon est, les monstres à l'intérieur, et les pièges etc... Ensuite vous expliquez aux joueurs de façon orale la situation, l'endroit et vous leur demandez ce que leur personnage veulent faire.

S'il sors en dehors du guide alors vous devez user de trucs, d'imagination, de personnages supplémentaires pour tenter de re-diriger le groupe vers le but. C'était très amusants, ça ressemblait beaucoup à Dongeons & Dragons mais plus simple et plus complet comme aventure car les livres guidants ces aventures était plus gros et ça ne prenait pas plus de 20 mins. faire un personnage et expliquer les règles.

Robert m'a protéger contre David une fois. On jouait au hockey dans le parking de la bibliothèque sur la rue Monk, Marie-Uguay (ouf, pas sûr de l'orthographe). Et David comptait beaucoup de but. J'étais épuisé de tenter de lui retirer la balle. Non seulement il marquait, mais David est plus baveux que moi, et il avait le dont de montrer qu'il était le meilleur. À un point tel que cette fois-là, mon verre avait débordé.

J'étais en maudit contre lui et contre moi même. Incapable de lui faire fermer la trappe en marquant un but. J'ai donc trouvé un autre moyen, j'ai pris mon baton et je l'ai tourné à l'horizontale et je l'ai lâché. Celui-ci continua de tourner et resta à la même hauteur qu'il avait quitté mes mains et il frappa le cou de David, le baton fit un tour autour de son cou et tomba par terre.

David me regarda et Robert s'est vite jeté sur lui et le retenu. David me criait plein de nom alors que Robert le maitrisait. Reste que les j'avais atteins mon quota, et donc j'ai réagis pour que ça cesse. Probablement pas la meilleure façon. D'ailleurs je ne me souviens pas d'avoir jamais attaqué personne d'autre dans ma vie, j'imagine que c'est parce que Robert n'est plus autour de moi pour me protéger. Ce jour-là, j'avoue avoir pêté ma coche...